Il était une
fois, dans les Landes au milieu de la forêt, de soi-disant hommes et une
grande sculptrice qui rigolaient en chantant devant la grotte aux mille
parfums, or au crépuscule de l’hiver, au beau milieu des étoiles, une
mouflette toute puissante, rassie mais encore fraiche, fit une ronde de
bisous avec sa machine.
En août, sous la
table du salon, Victor Hugo, palpitant, pouffa énormément de rire à la vue
d’un bon gâteau éclatant car à l’heure où chante le coq dans l’église au
fond du jardin, Dieu, immense et très poilu, expliqua à une cape l'amour
infini.
Un moment
d’anthologie
A l’heure où le tonnerre gronde, au milieu
d’une piste tracée dans la glace chaude, toutes les énormissimes âmes
illuminent une montagne déserte en pissant sous les étoiles mais, peut-être
un jour, surement demain, sur la treizième avenue, Camille Claudel, grosse,
mâchera fortement la boulette magique avec une pelle à tarte.
Une
aventure extraordinaire
Il y a 2000 ans,
dans les toilettes sèches de Bladey, un monde et un tambour bedonnant et
cérébral sculptaient sans relâche des épées sacrées, dégoulinantes de
paillettes éclatées au vent. Car, il y a bien longtemps, dans une bouche de
métro parisien, la méchante sorcière chauve pétarada le ver de terre qui se
cachait de la poule sans son slip.
Dans un an, à la
même heure, en Avignon pendant le festival des vénusiens aveugles et
ventripotents, s’ouvrirent des graines de courges avariées et enthousiastes.
Alors qu’il y a deux heures, dans un château des Carpates tombé en
simplicité, le bucheron du coin, dur et gros, cousu un galet rose en
finissant cette histoire follement.
Pendant la
dernière nuit étoilée, entre terre et ciel, la reine aux doigts carnassiers
et enchantés, aboya vers un délicieux gâteau qui s’esclaffait goulument et,
lors de l’éclipse d’un jour de merde, dans la nature, le vent, l’air, le
soleil et une toute petite soixantaine de poils évoluèrent vers de petites
boulettes à manger goulument.
Une
petite histoire de clous
A 14 h 12, au
fond de l’Océanie, un engoulevent à l’air revêche et serein, la pluie, le
vent et le soleil calme, rirent et allèrent défendre les portes de l’enfer
avec humour pendant que vers le début du matin, dans une autre galaxie, la
couscoussière miraculeuse espionnait une pomme, et tout ça en gaspacho !!!
Tant va la cruche
à l’eau
Un beau jour, dans la buanderie de la
Marquise, la petite chatte rousse et blanche aux yeux verts schizophrènes
maudît coa, coa, coa… l’humain, la forêt et les herbes avec une relative
modération mais, au levé du soleil dans la forêt de Cassandre, le lutin
endimanché et doré suça une chauve-souris en sautillant gaiement.
Au paléolithique,
au cœur des Landes, une belle petite libellule grosse et bleue malgré son
âge embauma trois petites cuillères en écoutant de la musique mais quand
l’heure sonna, vers l’endroit indéfiniment lointain, une toute petite fée
microscopique s’envola avec une scie à métaux vers un éléphant rose.
Après avant-hier,
sous l’étoile fourbe, le chien du prestigieux maharadjah escalade de petits
cornichons roses en respirant, en expirant… Rantanplan !!! Or, comme souvent
dans le canyon du Colorado, la plante carnivore hurle sa joie immense et
s’envole dans un ovni avec délicatesse.
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